En 2024, tout professionnel qui souhaite rester compétitif, avec des qualifications en adéquation avec les besoins du marché de l’emploi, devrait s’inscrire à une formation spécialisée pour graphistes pour une raison bien précise. On est dans un monde de plus en plus visuel où le « numérique » tient une place prépondérante.
Que vous soyez manager, entrepreneur, marketeur ou même dans un métier technique, des compétences en graphisme vous permettront de mieux expliquer vos idées. Vous serez en mesure de créer des présentations à fort impact. Vous collaborerez plus facilement avec les équipes dans les services où la créativité constitue la pierre angulaire de leurs tâches.
L’omniprésence des réseaux sociaux et du contenu visuel engendre le besoin de savoir concevoir des visuels attractifs qui stimulent l’engagement des socionautes. C’est un atout considérable aussi bien pour votre personal branding que votre carrière au sein d’une entreprise.
De plus, la connaissance des principes du design graphique présente un intérêt pour vos performances professionnelles. En effet, elle vous aidera à comprendre les enjeux dans votre secteur de l’expérience utilisateur d’une part et de l’identité visuelle d’autre part. Dans un contexte où la communication visuelle est reine, le graphisme devient une compétence fondamentale. Elle s’impose à tout professionnel qui souhaite exceller.
Vous vous dites sûrement que votre activité professionnelle ou votre niveau de responsabilité dans l’entreprise vous épargne la nécessité d’une maîtrise de l’infographie. Détrompez-vous. Cette compétence vous aide à présenter efficacement des informations complexes. C’est beaucoup plus pratique pour exposer des données financières et fiscales à des personnes qui ne s’y connaissent absolument rien.
En bref, grâce à une formation certifiée en infographie, vos aptitudes en communication s’affineront.
L’infographie facilite la compréhension rapide de données, de processus ou de concepts, ce qui peut améliorer la productivité et la prise de décision dans n’importe quel domaine. Vous serez capable de créer des supports de communication fascinants pour vos rapports et même pour les réseaux sociaux. À la différence du graphisme général, l’infographie se concentre sur la représentation visuelle de l’information et des données. C’est une compétence de plus en plus recherchée dans tous les secteurs, et ce quel que soit le poste.
]]>Des questions font une boucle dans notre cerveau lorsqu’on commence à entrer pour la première fois dans le monde du travail, serais-je capable ? Et si j’échoue ? Tout cela est logique, la solution est de rester positif. Pour libérer la dopamine et l’endorphine, qui sont les hormones du plaisir, il ne faut pas laisser tomber ses moments agréables, par exemple une heure par semaine pour regarder son film préféré ou lire des magazines et réaliser ses passe-temps favoris. Même si on travaille, il y aura toujours des instants pour le bien-être de soi. Avant de vous coucher, prenez un carnet et notez votre succès journalier, tel que les problèmes dénoués, les contrats signés.
Il s’agit de garder ses neurones en alertes, de prévoir le succès. Autrement dit, imaginer la victoire, les médailles est le processus de la réussite. Tant qu’on pense positivement, il est plus facile de surmonter les obstacles. Les remarques et les erreurs ne devraient pas être des obstacles qui empêchent d’avancer. Ce sont des alternatives qui vous permettent de faire face à tous problèmes et difficultés.
Quand vous débutez dans le monde du travail, il est tout à fait normal d’échouer, même les personnes les plus professionnelles et les personnes expérimentées peuvent échouer dans leur domaine. Après un échec, on dit souvent de se remettre en selle tout de suite. Pourtant, il est obligatoire de faire une analyse avant de se lancer à nouveau. Évitez de rester plus de trois minutes dans des émotions négatives, les ondes négatives n’offrent jamais de solution.
Le métier du community manager consiste principalement à gérer l’image d’une marque sur les réseaux sociaux. Il doit animer des pages Facebook et diffuser des Tweets. Vous l’avez probablement compris, cette personne passe l’essentiel de son temps à interagir avec les internautes. Il est possible d’opérer depuis sa maison ou en local. Dans les deux cas, il y a des indicateurs à observer. Vos démarches sont quantifiées et analysées par vos supérieurs. Vous avez aussi pour mission de créer le buzz. Pour ce faire, l’employeur ou bien le client met parfois un budget de communication à votre disposition. Vous pouvez vous en servir pour faire de la publicité ou comme prix pour les jeux-concours. Cette profession à part entière demande beaucoup d’implication de votre part. Le community manager doit être connecté sur les principaux réseaux sociaux. Il devrait aussi être un bon communicant. Un esprit de synthèse lui permet d’être proactif et de faire preuve d’anticipation.
Le métier de rédacteur Web consiste principalement à écrire des textes. Ce spécialiste des contenus fournit des articles pour des entreprises, des particuliers ou bien des groupes de presse. Dans tous les cas, il lui faut du talent pour transmettre des idées de manière précise. Contrairement au journalisme classique, le vocabulaire devrait rester à la portée du plus grand nombre. L’objectif est d’atteindre le plus d’internautes possible. Si vous comptez progresser dans ce métier, il faut apprendre à composer des phrases simples, claires et concises. Vous devez savoir transmettre un message en un minimum de mots. Bref, il s’agit bien d’un emploi accessible à tout le monde, mais il faudra beaucoup plus que savoir écrire le français pour y percer. Une bonne culture générale devrait vous aider à avancer plus rapidement dans vos travaux de rédaction. Vous avez aussi intérêt à rester à l’affût des actualités, un peu à la manière d’un journaliste.
Si la vente ne vous effraie pas, alors le MLM ou multilevel marketing est pour vous. Ce secteur à part entière est parallèle aux réseaux de distribution classiques. Vous pouvez l’intégrer en tant qu’indépendant. Dans un premier temps, vous devez persuader de parfaits inconnus à acheter un produit. Vous ne vous occupez pas de la logistique. L’entreprise pour laquelle vous travaillez s’en charge. Il est également possible de devenir un détaillant établi à votre compte. Vous investissez alors sur un stock de marchandise que vous écoulerez à votre rythme. Une énième option consiste à confier leur commercialisation à d’autres revendeurs que vous prendrez sous vos ailes. Le tout se fait à domicile. Vos gains dépendent surtout du chiffre d’affaires que vous pouvez atteindre. Pour réussir dans ce secteur, appliquez avec soin les conseils sur Marketing de réseau, n’hésitez pas à vous former sur le marketing, sur le produit que vous devez écouler, etc.
]]>
La préparation d’un recrutement commence toujours par la définition du poste à pourvoir. Le départ d’un collaborateur et tout nouveau besoin en main-d’œuvre justifient une embauche. Définir le poste revient à déterminer la mission. Il faudra également lister les tâches concrètes ainsi que les activités complémentaires. La place du nouvel employé dans la hiérarchie est à trouver. S’il s’agit d’une poste à responsabilité, il vaut mieux éviter tout conflit d’intérêts avec les autres employés plus tard.
Lorsque le poste a été défini clairement dans une fiche, le recruteur doit passer à l’étape 2. Elle consiste à dresser le portrait robot du candidat idéal pour la fonction. Concrètement, ses compétences sont à détailler. Il doit avoir des qualifications. Au-delà des diplômes, il faut aussi du vrai savoir-faire. Le candidat doit normalement maîtriser le métier. Autrement, l’entreprise devrait se tenir prête à lui offrir un programme de formation. Le savoir-être est un détail auquel le recruteur doit penser. La personnalité du postulant compte beaucoup.
La diffusion de l’offre d’emploi se fait dans les médias. Le recruteur doit préparer différentes présentations pour convenir aux supports choisis. Pour la presse écrite par exemple, il faut une annonce sur un format publicitaire donné. Les grands groupes prennent un demi-page d’un journal tandis qu’un artisan peut se contenter d’une insertion dans la rubrique « Petites Annonces ». Internet constitue un autre choix qui reste parfois gratuit. Les entreprises peuvent aussi étoffer leur équipe en chassant de nouveaux talents dans les salons professionnels ou estudiantins.
Il existe trois filières qui donnent accès à un parcours permettant d’atteindre ce poste. En premier lieu, vous avez la filière d’État. Pour y accéder, vous devrez passer le concours d’entrée à l’École Nationale d’Aviation Civile. Ce concours est disponible sous plusieurs formes en fonction de votre diplôme. Vous pouvez passer le test si vous êtes détendeur du bac, d’un bac+2 sur un cursus scientifique ou d’une licence de Pilote professionnel et ATPL théorique. La deuxième possibilité est la filière payante où il suffit d’avoir un Bac et de passer un test d’entré dans un FTO. Toutefois, il faudra payer près de 80 000 euros pour terminer la formation. Et pour finir, il y a la filière militaire. Il faut être bachelier et être âgé entre 17 et 22 ans pour pouvoir entrer dans ce cursus. Vous recevrez alors une formation au pilotage d’un engin spécifique (avion de chasse ou de transport et hélicoptère). Quant à la rémunération, un pilote débutant reçoit 2 000 euros bruts par mois.
Bien que disposer d’une excellente vue puisse être un avantage, le port de lunettes ou de lentilles est autorisé si vous souhaitez devenir pilote. En revanche, avoir une parfaite maîtrise de l’anglais est un pré-requis indispensable. Savoir garder son sang-froid à toute épreuve et avoir des nerfs d’acier sera également nécessaire. En plein vol, la moindre erreur peut être lourde de conséquences et peut même être fatale. Avoir de bonnes conditions physiques sera tout aussi important. Vous devrez être apte à voyager de nuit et être en mesure de supporter les décalages horaires.
Votre métier vous amènera également à effectuer des réparations ou des restaurations de bijoux, de vaisselle, de couverts de table, d’objets de toilettes cassés ou dont certains éléments sont perdus. L’orfèvre que vous serez commence par concevoir et dessiner des objets ou des bijoux à partir d’un métal et ensuite, vous le réalisez. Ce qui veut dire que vous allez découper le métal et former l’objet ou le bijou. Vous aurez à vous servir de maillet, vous allez graver, limer, polir et aviver le métal. A chaque étape, vous devez recuire le métal pour le rendre plus souple.
La principale formation pour avoir accès au métier d’orfèvre, c’est le CAP orfèvre avec 4 options. Niveau CAP, c’est le CAP orfèvre option monteur en orfèvrerie, CAP orfèvre option polisseur aviveur en orfèvrerie, CAP orfèvre option tourneur repousseur en orfèvrerie, CAP orfèvre option planeur en orfèvrerie. Pour un niveau bac+3, c’est DN made- diplôme des métiers d’art et du design. Une fois que vous aurez votre diplôme et que vous commenciez dans le métier, vous toucherez dans les 1 500 euros brut mensuels. Lorsque vous deviendrez un professionnel confirmé, vous pourrez reprendre un atelier ou vous mettre à votre compte. Dans ce cas, vos revenus dépendront du volume des commandes que vous recevrez.
L’entreprise ou son mandataire doit déterminer s’il faut remplacer une personne ayant quitté la société ou créer un nouveau poste. Ce dernier est à définir en précisant la mission, la place dans la hiérarchie, le profil du candidat ainsi que la rémunération. Normalement, le contrat de travail détaille le poste à pouvoir. Si l’entreprise respecte certaines conditions, elle peut prétendre à l’aide de l’administration pour son recrutement. Il faut notamment embaucher un chômeur de longue durée ou un jeune fraîchement diplômé.
L’offre d’emploi devient officielle lorsqu’elle est publiée dans les médias. Cette tâche peut être confiée à un cabinet de recrutement. Il est également possible de diffuser la proposition de recrutement sur les réseaux sociaux ou le site de l’entreprise. L’annonce doit inclure plusieurs rubriques, dont l’intitulé du poste, le profil recherché ainsi que les contacts. Les candidats devront postuler en envoyant les dossiers à l’adresse mail ou une boîte postale. Cette option permet de garder l’anonymat. Le recruteur sélectionne les dossiers les plus pertinents avant de passer aux entretiens d’embauche.
Pour un chercheur d’emploi, l’entretien d’embauche constitue l’ultime étape avant d’intégrer une société. Le candidat retenu pour cette entrevue a un pied dans l’entreprise. Le recruteur doit tout de même encore voir plusieurs postulants avant de décider. S’il s’agit d’un cabinet de recrutement, il propose un profil à la société qui cherche du personnel. Quand les décisions sont prises, la personne retenue est informée. Ce candidat passe une période d’essai de 3 mois avant d’être embauché en CDI ou contrat à durée indéterminée. Pendant cette phase probatoire, il faut régulariser sa situation vis-à-vis de la fiscalité et des caisses de prévoyance sociale.
Si vous avez envie de devenir avocat, sachez qu’en règle générale, vous allez exercer votre métier en libéral. Cela veut dire que vous ne dépendez pas d’un patron quelconque, vous menez les négociations et les procédures tout seul. Mais il peut arriver que vous préfériez travailler en tant que salarié, au sein d’un cabinet. Dans ce cadre, vous devez rendre des comptes à votre chef qui aura le droit de vous demander des résultats, en plus de ce que vous réclamera votre client. La pression peut être très importante au quotidien.
En choisissant cette branche qu’est le métier d’avocat, vous savez qu’il en existe plusieurs facettes. Vous pouvez vous spécialiser en tant qu’avocat d’affaires qui se chargent de conseiller et de défendre les entreprises. Un avocat pénaliste s’occupe des personnes qui sont accusées de crimes et de délits. Il y a d’autres spécialités encore dans ce métier et d’ailleurs, il existe différentes facettes juridiques des clients qui se présentent à vous. Mais quelle que soit la spécialisation pour laquelle vous optez, il est également indispensable que vous connaissiez les règles de la déontologie qui régissent la profession d’avocat.
En France, un seul établissement propose actuellement une formation pour devenir tatoueur. Il est unique dans l’Hexagone. L’École Française de Tatouage (EFT) propose un cursus de deux ans au bout duquel les apprenants obtiennent un diplôme de niveau Bac+2. La formation comprend plusieurs volets, notamment artistiques. La partie concernant l’hygiène reste également primordiale. Elle est sanctionnée par une attestation PSC1 ou prévention et secours civiques de niveau 1. Cette qualification est accessible à tout le monde. Elle est incontournable pour tous ceux qui souhaitent intégrer un métier artistique touchant directement le corps humain. L’EFT dispense différents cours. Certaines matières incitent les étudiants à développer leur dextérité. Les notions sur la dermatologie ou d’allergies font aussi partie de la formation de deux ans.
Beaucoup de tatoueurs français sont des autodidactes. Ils ont tout appris par la pratique. Concrètement, les apprentis sont placés sous les ailes d’un expert en tatouage. Ils passent au moins 6 mois de stage dans un salon avant de maîtriser le B à BA du métier. Il est parfois possible d’être salarié dès le premier jour de formation. Un apprentissage intensif de 21 heures peut suffire à apprendre les bases théoriques, surtout celles concernant l’hygiène et la sécurité. Certaines marques d’équipement pour tatouer procurent des stages pratiques ouverts à tous. Elles limitent l’apprentissage au maniement de leur matériel. Plus tard, les tatoueurs formés peuvent étendre leur savoir-faire. Ils doivent se documenter et intégrer des regroupements professionnels. Le syndicat national des artistes tatoueurs (SNAT) est l’une des entités auxquelles il faudra adhérer. Ce rassemblement sectoriel apporte des réponses aux nombreuses questions posées par les personnes souhaitant intégrer la profession.
Les recruteurs veulent avant tout connaître si le chercheur d’emploi a le bon profil pour le poste à pourvoir. Ainsi, vous avez intérêt à vous présenter en tant que professionnel dans le domaine. Endossez le titre correspondant à l’offre. Explication : si l’entreprise cherche un « journaliste confirmé », ou « expert-comptable », commencez votre présentation en tant que tel. Parlez au temps présent, même si vous n’occupez plus ce poste depuis quelque temps. Mettez en avant votre expérience en indiquant le nombre d’années pendant lesquelles vous avez pratiqué le métier. Autrement, il est aussi possible d’évoquer une qualité en particulier que l’entreprise recherche. Si l’offre d’emploi demande d’autonomie ou de polyvalence, indiquez que vous êtes expérimenté, mais disposez également de ces valeurs ajoutées.
Le déroulement d’un entretien d’embauche reste pratiquement le même. Lorsque le recruteur vous demande de parler de vous, mâchez bien vos mots. Dans l’idéal, vous pouvez faire une synthèse de votre parcours professionnel sans réciter votre CV. Vous devriez aussi vous présenter en tant qu’apporteur de solution. Cherchez ce que vous pensez être votre point de différenciation face aux autres candidats. Cela peut être la maîtrise parfaite d’un logiciel ou bien vos connaissances en photojournalisme. Lorsque le recruteur commence l’entrevue en exposant le contexte dans lequel se fait l’embauche, assurez-vous d’avoir tout compris. Faites savoir à votre interlocuteur que vous avez bien cerné le problème. Précisez que vous saisissez bien les objectifs du recrutement. Certains candidats vont même aller plus loin en proposant des solutions concrètes à l’entretien.